LISA, un détecteur d’ondes gravitationnelles constitué de trois satellites devrait s’envoler dans l’espace en 2035. L’objectif : capter des ondes gravitationnelles de plus basses fréquences que ces homologues terrestres? Que pourraient nous apprendre ces signaux sur l’histoire de l’univers ?
[–>
Avec
Antoine Petiteau Astrofísico del IRFU del CEA, docente-investigador del laboratorio de Astropartículas y Cosmología APC de la Universidad de París. Responsable de la misión LISA de la ESA, que será el próximo interferómetro espacial lanzado en 2034 o 2035.
Quentin Baghi Profesor de la Universidad Paris-Cité e investigador del laboratorio de astropartículas y cosmología
