(4/5) Franck Lambert se ocupa del PC médico: “En los Templarios tenemos que intervenir unas 120 veces”

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Pour assurer la bonne tenue de milliers de courses en pleine nature chaque année, il faut une équipe médicale solide afin d’intervenir en cas de problème. Un défi loin d’être évident quand on est en montagne ou sur des terrains difficiles d’accès. Franck Lambert est le dirigeant de la société LCE, spécialisée dans ce domaine (Le cœur de l’évènement – Accueil). Il s’occupe notamment du PC Médical sur le trail des Templiers dans l’Aveyron. ” On a, ce qu’on appelle, un poste médical avancé, à quelques kilomètres des courses, où on a une équipe médicale avec des secouristes qui servent à accueillir tous les blessés, malaises ou autres, qui vont nous être amenés directement. Et sur site, on a des équipes médicales qui se déplacent, au fur et à mesure que les coureurs se déplacent aussi. “

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L’équipe médicale à pied d’oeuvre, comme ici sur le Grand Raid de l’île de la Réunion
© AFP[–>– Bastien Doudaine / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

” Le but du jeu, c’est d’intervenir le plus rapidement possible “

” Le but du jeu, c’est d’intervenir le plus rapidement possible, dans les meilleures circonstances, tout en sachant que sur des parcours extrêmement accidentés et sur des zones qui sont quelque fois, très peu accessibles, les temps d’interventions peuvent être rallongés “

” On peut aussi faire appel aux secours publics, qui peuvent être des pompiers, bien évidemment, mais ça peut aussi être le SAMU, ça peut être l’hélicoptère pour intervenir le plus rapidement possible et dans les meilleures conditions “

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type="image/webp">[–> type="image/webp">[–>> Intervenir de noche, en caminos irregulares y empinados no es realmente fácil para los equipos médicos en los senderos.>>>
Intervenir de nuit, sur des chemins accidentés et escarpés n’est pas vraiment simple pour les équipes médicales sur les trails
© AFP[–>– Thibaut Durand / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

” En trail, les risques sont surtout traumatologiques “

” On ne peut pas avoir un oeil partout, sachant que chaque concurrent a son téléphone et une petite balise qui lui permet de pointer. Il y a deux risques : un risque traumatologique puisque le terrain est extrêmement accidenté (entorses, fractures, etc..) alors que sur des marathons, on va plutôt être sur une partie plutôt médicale, c’est à dire des malaises, des déshydratations. Ce sont des choses qu’on retrouve aussi sur des trails mais c’est d’une manière plus fréquente sur les marathons. Sur les templiers, sur trois jours, on doit intervenir à peu près 120 fois, ce qui est quand même pas mal “.

A savoir :

Le départ de la SaintéLyon est donné à minuit tous les ans depuis 1978 ! Cette course a d’abord été une randonnée organisée en hiver. Elle était longue de 64 km, et reliait les villes de Saint Etienne et de Lyon. Cette randonnée se déroulait sur deux jours et le but était tout simplement de garder la forme en hiver. Jusqu’en 1977, il était interdit de courir sur la SaintéLyon sous peine de disqualification !
C’est devenu par la suite un véritable trail couru par des milliers de participants chaque année.

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